Paris–Perpignan par le train de nuit
Jacques Bigorre
Préface de Gilbert Pons
3 générations de souvenirs, en route pour Perpignan
De la gare d’Austerlitz au centre du monde un long chemin de fer sillonne une France provinciale.
Une douzaine d’étapes avec autant de villes aux accents du coin qui s’enchantent au fil de la descente vers le sud.
Un compartiment de première classe pour trois individus plutôt loquaces, pour trois générations avec autant d’anecdotes qui sentent bon le vécu.
Un voyage à travers le temps dans un train de nuit intemporel. Une même destination pour un pays catalan avec une arrivée matinale en gare de Perpignan.
Et voilà que Pierre, Paul, Jacques découvrent leurs racines avec un grand étonnement.
Fin de ce voyage dans l’air du temps qui passe,
voire du temps passé
mais aussi fin de ce voyage
que vous passerez à la lecture de ce livre
dont vous vous souviendrez
comme un mémorable passe-temps.
Parole d'auteur
Jacques Bigorre
À refaire ce trajet en train de nuit par l’écriture m’a rappelé combien le souvenir de son charme désuet pouvait être délectable.
Je me suis souvenu de chaque arrêt, de chaque énoncé dans chaque gare et de chaque accent qui la localisait :
« Montauban, Montauban, cinq minutes d’arrêt. »
C’était la descente, non pas aux enfers, mais vers le sud, vers un accent de plus en plus chantant. Celui de Perpignan.
C’était la descente au paradis de mon enfance.
La Cuisine Catalane de mon Enfance
Jacques Bigorre
Préface en catalan & illustrations de Carles Bros
Prix : 25 €
Un livre de cuisine catalanequi associe goût, recettes& conseils de santé
La cuisine catalane de mon enfance, comme son titre l’indique, raconte à la fois la cuisine de ma maison familiale et surtout les recettes qui s’y concoctaient.
Ceci est mon deuxième livre de cuisine, il reprend le concept du premier «la cuisine de la pitcholina» en associant mes écrits aux œuvres d’un peintre renommé.
Le premier a eu pour artiste la regrettée Mady de la Giraudière et le second Carles Bros, peintre catalan de la Costa Brava.
Ce dernier, grand défenseur de la sardine, est entre autre célèbre pour avoir décoré de ses sardines, le monumental brise lames du port de Llanca. Carles Bros a donc illustré la totalité du livre, qu’il a agrémenté d’une préface et d’une recette en langue catalane.
Pour ma part, fort de mon passé de pharmacien, j’en ai profité pour glisser quelques conseils de nutrition, orientés vers le «mieux manger» et aussi le «bien mincir».
Quand aux 78 recettes traditionnelles catalanes, je les ai puisées dans mes souvenirs d’enfance. Quand j’assistais la cuisinière de ma grand mère dans ses préparations simplissimes et tellement gouteuses. Qu’elle en soit remerciée, du haut de sa cuisine céleste, car elle est l’âme de ce «beau et bon» livre de cuisine.
Parole d'auteur
Jacques Bigorre
L’écriture de ce concept-livre m’a procuré un grand plaisir gustatif empreints de nostalgie.
Ce fut ma madeleine de Proust.
Je me suis retrouvé, de nombreuses années en arrière, dans la cuisine de ma grand-mère, dirigée à la baguette par Marie, sa talentueuse cuisinière, qui en avait pris possession.
Toutes les spécialités culinaires du pays catalan y sont passés et toujours avec la simplicité qui en font l’authenticité.
Au Vent d'Antan
Photographies de Roland Laboye & textes de Michel Monsarrat
Préface de Gaston Louis Marchal
Prix : 20 €
Un livre témoin des années 70 dans le Tarn
Le premier titre de cet ouvrage fut Castres en personnes mais jugé trop restrictif et pas assez descriptif, il fut bientôt remplacé par celui que vous pouvez lire en retournant ce livre.
Qu’en pensez-vous?
Pour vous aider à formuler un avis je vous conseille de feuilleter rapidement cet étonnant recueil.
Comme moi vous avez, je l’espère, un choc, celui des mots comme celui des photos ?
Dans ce match entre l’auteur et le photographe, qui sortira vainqueur ?
Qui fera le poids ?
Le poids des mots ou le poids des photos ?
Peu importe, puisqu’ils sont devenus indissociables.
Ces figures et personnages d’hier sont notre mémoire. Ce vent d’antan qui souffle sur eux nous remémore aujourd’hui notre hier.
Avec tendresse et nostalgie un père, une grand-mère, un oncle, une cousine… en tout cas un parent qui reste toujours présent dans notre souvenir.
Alors, vous en conviendrez le poids et le choc des mots et des photos de cet opuscule sont maintenant pour vous et moi, imprimé, à jamais aux jours d’hier.
Jacques Bigorre, premier lecteur…
Paroles d'auteurs
Rolland Laboye*
À travers ces photos prises dans ma bonne ville de Castres dans les années 70 je vous transmets ma chaleureuse nostalgie.
À la manière de Doisneau avec lequel j’ai partagé souvent une même vision instantanée, je vous livre mon regard bienveillant sur la nature humaine.
À vous de découvrir ces hommes et ces femmes héros de ces clichés que l’on dira balayés par le souriant vent d’antan.
* Prix Niepce Gens d’Image
P
Michel Monsarrat*
Si la pharmacie mène à tout à condition d’en sortir, il en va de même de la chirurgie.
Ainsi en paraphrasant le docteur Knock ou plutôt celui qui l’incarnat, qui bien que pharmacien, s’échappât avec brio de l’officine, je fis de même avec la chirurgie mais avec plus de discrétion.
En parallèle de ma longue carrière de chirurgien de l’hôpital de Castres, je sus m’évader dans l’écriture mais toujours à l’encre du vent d’antan.
* Conseiller Départemental du Canton de Castres
La Cuisine de La Pitcholina
Jacques Bigorre
Préface & illustrations de Mady de La Giraudière
Prix : 25 €
Art naïf, cuisine simple et conseils pharmaceutiques pour un livre très bon pour la santé
Le secret du bonheur étant probablement la simplicité tout me pousse à croire que c’est aussi celui de la cuisine, après avoir longtemps vérifié que c’était également le secret de la publicité.
En effet, depuis bientôt 30 ans, j’exerce cette coupable profession de pharmacien-publicitaire, je cultive l’art de la simplicité dans la communication. Souvent, je dis à mes clients :
« Si le plus bête d’entre nous autour de cette table, en l’occurrence moi, n’a pas compris immédiatement le message, c’est qu’il n’est pas bon ! »
Il en va de même pour la cuisine :
« Pour qu’elle soit bonne, il faut qu’elle soit simple ».
Affirmation péremptoire de l’ancien épicier du médicament que je fus.
Habile dans la réalisation de quelques pommades ou autres suppositoires je vous révèle aujourd’hui avec ce livre le secret de mes préparations gourmandes et encore un peu magistrales.
Passez de la paillasse du préparatoire de la pharmacie aux paillassons de la cuisine est un exercice relativement aisé puisqu’il demande la même qualité : aimer ce que l’on prépare pour le plaisir et la santé de ceux qui vont en profiter. La cuisine du sud possède un avantage à mes yeux sur beaucoup d’autres : elle est plus proche du soleil.
La cuisine de la Pitcholina revendique cette proximité. Ses inspirations sont occitanes, catalanes, ibériques, basques, corses, et italiennes. Mais parfois se glisse avec malice une pointe d’accent parisien ponctué par quelques plats canailles aux saveurs de l’enfance ! Cette mixité, c’est probablement un peu la mienne. Catalan de père et parisien de mère, je cultive depuis toujours cette double appartenance culinaire.
Parole d'auteur
Jacques Bigorre
Un croûton frotté d’ail et arrosé d’un filet d’huile d’olive et voilà le passeport pour entrer dans la cuisine de La Pitcholina.
Qui est-elle ?
Certes une contraction de «pitcholine» (petite olive nerveuse et savoureuse) et de « Cicciolina» (célèbre députée européenne aux formes voluptueuses), mais surtout cette cuisinière généreuse qui a le bon goût de notre enfance.
Alors vous aussi suivez-moi dans ce voyage gastronomique au côté de La Pitcholina.